L'ambiguité du titre (on pourrait croire qu'il s'agit de deux pièces distinctes) dit bien le malicieux humour de l'auteur : les deux pièces n'en font qu'une, l'armoire finissant, mais in extremis, par succéder au tiroir évoqué dans le préambule de la comédie. Une comédie d'autant plus légère, désinvolte même, que le sujet en est sérieux : comment s'y prendre quand on est fille pour se dépêtrer d'un amour maternel vampirisant. S'inventer des secrets? Déménager? Couper les ponts? Séduire un collègue de bureau?
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